Psaumes 15.1 et 2 – Psaume de David. O Eternel ! qui séjournera dans ta tente ? Qui demeurera sur ta montagne sainte ? Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur.
Certainement que vous avez fait cette expérience, pas très agréable, d’avoir un caillou dans votre chaussure. Il va sans dire qu’un tout petit caillou va littéralement freiner notre marche et nous faire souffrir. La seule solution sera de s’arrêter, d’ôter sa chaussure, de la secouer afin de faire tomber ce petit caillou et de pouvoir enfin reprendre une marche assurée. Cependant, si vous insistez et continuez à marcher avec ce petit caillou, non seulement celui-ci va freiner votre marche mais de plus, va vous blesser le pied !
S’il en est ainsi quand le domaine naturel, il en de même dans notre marche spirituelle. Cependant, trop souvent, nous laissons les petits cailloux entrer dans nos chaussures et nous continuons notre marche jusqu’à ce que celle-ci ne soit plus possible.
Ces petits cailloux peuvent représenter plusieurs choses que nous laissons entrer dans nos vies : mensonges, traits de caractère dans lesquels nous nous complaisons, orgueil, méchanceté, duplicité, relations équivoques par exemple au travers du net… Une liste de petits cailloux non exhaustive mais des petits cailloux que nous laissons entrer dans nos chaussures et qui progressivement vont ralentir notre marche avec Christ. Pourtant, à un moment donné, il ne faut pas se faire d’illusion, notre marche va être littéralement stoppée, la douleur beaucoup trop vive, ne permettant pas de faire un pas de plus.
C’est ainsi qu’un jour, j’ai dû m’arrêter, ôter mes souliers et enlever tous les petits cailloux qui étaient dans mes chaussures.
Si toi aussi tu as des petits cailloux dans tes souliers, ne continue plus ta route ainsi. C’est le temps pour toi de t’arrêter et d’ôter tes soulier. C’est le temps pour toi de décider SANS PLUS ATTENDRE d’apporter à Dieu ce qui entrave ta marche. Ne tolère plus ces petits cailloux ; et pendant ce temps d’arrêt, laisse Dieu te panser. Tu repartiras marchant dans l’intégrité, d’un pas ferme, et même courant jusqu’à remporter le prix de ta vocation céleste en Jésus-Christ.
Que Dieu te bénisse abondamment. Avec toute mon affection.
Corinne
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Toujours à un moment donné de la vie, nous devons faire en sorte que cela s’arrête, pour une chose ou une autre; afin d’améliorer chaque jour notre relation avec Dieu.