Esaïe 45.9 – Quel malheur de voir un homme, simple pot de terre parmi les autres, qui ose faire des reproches à celui qui l’a façonné ! L’argile demande-t-elle à celui qui la façonne : « Que fais-tu là ? » Le vase dit-il du potier : « Quel maladroit ! »

Dans le monde évangélique, nous parlons souvent de la puissance des paroles prononcées sur nos vies, et je voudrais aujourd’hui m’arrêter sur un point : celui de la puissance des paroles prononcées sur nos vies par NOUS-MÊMES. En effet, combien de fois n’avons-nous pas dit : « Oh que je suis bête, je suis bonne à rien, qu’est-ce que je suis moche, je suis… » ?

Il faut se l’avouer, nous les femmes, pouvons avoir la fâcheuse tendance à déclarer des paroles sur nous-mêmes qui ne sont pas des plus heureuses. Et à l’instar de notre verset du jour, en prononçant tous ces mots, nous déclarons en fait à notre Créateur : « Mais qu’as-Tu fait là ? »

Il est important de comprendre que ces paroles prononcées sont tout autant des malédictions sur notre vie que celles prononcées par les autres à notre encontre. Il nous est dit dans Proverbes 18.21 que la vie et la mort sont au pouvoir de la langue. Alors, si dès ce jour, nous décidions de ne prononcer sur notre vie que des paroles de vie ? Aujourd’hui, prends la ferme décision de ne laisser sortir de ta bouche aucune parole mauvaise à ton sujet (ni au sujet des autres d’ailleurs), et commence aussi à proclamer les promesses de Dieu sur ta vie. Loue Dieu de ce que tu es une créature si merveilleuse.

Excellente journée ! Avec toute mon affection.

Corinne